Martin était là, assis, il attendait son père, il ne demandait rien à personne….mais David Heyman , producteur de films, est passé par là, en quelques secondes le destin de Martin a basculé,la machine était en marche.IL serait le héros de cette super-production, le livre est devenue un véritable succès mondial, le premier film prendrait le même chemin….alors il ne fallait pas se tromper, essais après essais, Martin allait devenir l’incarnation de Harry Potter…
Un nouveau livre de David Foenkinos, absolument passionnant, avec un choix de « casting » parfait.Accompagner « Martin » jusqu’à la dernière page à été un véritable plaisir, même si son parcours de vie est chaotique, persuadé que l’évitement vaut mieux que la confrontation à la source du problème….
Une belle lecture pleine d’espoir, de vie et d’envie.
Un homme se retrouve en prison. Brutalisé dans sa mémoire et dans sa chair, il décide avant de mourir de nous livrer le récit de son destin.
Écrit dans un élan vertigineux, porté par une langue aussi fulgurante que bienveillante, Le Démon de la Colline aux Loups raconte un être, son enfance perdue, sa vie emplie de violence, de douleur et de rage, d’amour et de passion, de moments de lumière… Il dit sa solitude, immense, la condition humaine.
Le Démon de la Colline aux Loups est un premier roman. C’est surtout un flot ininterrompu d’images et de sensations, un texte étourdissant, une révélation littéraire.
L’illustration de couverture a été réalisée par Clara Audureau.
Finaliste du Prix Goncourt du premier roman.
Lauréat du Prix Première de la RTBF 2021
Lauréat du Prix du premier roman des Inrockuptibles 2021
Lauréat du Prix Louis Guilloux 2021
Lauréat du Prix Roblès 2021
Lauréat du Prix Poulet-Malassis 2021
Lauréat du Prix des librairies Payot
Lauréat du Prix [du métro] Goncourt
L’Auteur
Dimitri Rouchon-Borie est né en 1977 à Nantes. Il est journaliste spécialisé dans la chronique judiciaire et le fait divers. Il est l’auteur de Au tribunal, chroniques judiciaires (La Manufacture de livres, 2018). Le Démon de la Colline aux Loups est son premier roman.
Chers parents, merci à vous , pour votre patience, votre écoute, votre gentillesse, merci à Sarah pour ses petits gâteaux, merci à Rozen pour son très beau dessin, merci à Manelle, hanna, Chérine pour votre présence , et vos rires et sourires, merci à tous les enfants , petits et grands de m’ensoleiller mes journées…
Et si les filles jouaient au tractopelle, les garçons à la dinette, et si on habillait un bébé garçon en rose, en bleu le bébé fille….et pourquoi pas?!
Monstres, sorcières, et autres personnages mystérieux ont décidé de se réunir, ce jour, attention les enfants! et vous aussi les adultes…..vous devriez lire cette formule magique , si vous ne voulez pas être transformé en ..petit crapaud!
♠
PETIT CHAPERON ROUGE
GARGOULLIS DE GARGOULLASSE
DES HISTOIRES EN VEUX TU EN VOILA
PATINCOUFINDEFILARETORDRE
EAUDEBOUDIN ET MORVEDECRAPAUD
AUX HISTOIRES JE TIRE MON CHAPEAU
♣
Attention! si vous voulez rencontrer la vieille sorcière, il faut s’inscrire….
Les grands-parents les lisaient, les enfants les dévorent encore. Cinq générations ont lu Michka, La Petite poule rousse, Roule galette ou Boucle d’or. Voici comment le Père Castor a révolutionné la littérature jeunesse.
On est en 1927, Paul Faucher est libraire, installé à Paris et passionné d’éducation nouvelle. Il fonde, chez Flammarion, une collection d’essais sur l’éducation. Il fait alors une rencontre qui va le bouleverser : František Bakule, un professeur tchèque qui lui donne envie de s’adresser directement aux enfants, pour être acteur de l’éducation. Il veut la changer de l’intérieur et rendre l’enfant libre.
Car pour Paul Faucher, début 1930, la littérature jeunesse est “d’une indigence désespérante”.
Michel Defourny, fondateur du Centre de littérature jeunesse de Liège, revient sur cette époque : « Pour en réduire le coût il allait renoncer aux couvertures cartonnées qui étaient les livres d’étrennes par exemple, ou des grands formats très coûteux réservés à une classe bourgeoise. Il renoncerait à la liure qui serait remplacée par des simples agrafes, le nombre de pages serait réduit, le papier d’impression serait ordinaire. Et comme il veut en faire des outils, chacun pourrait se l’approprier, le découper, le colorier ou en faire le support de jeux. Et d’ailleurs c’est parce que ces livres “apportaient des jeux constructifs” que ces albums furent placés sous le signe d’un animal voué d’instinct à la construction : le castor. »
Son premier livre outil “Je fais mes masques” est simple, sans morale édifiante, facile à transporter et créatif. Il devient objet du quotidien, accessible pour tous.
Paul Faucher, pour le Père Castor, veut appliquer une philosophie de l’éducation, il fait appel à des ingénieurs pédagogiques pour construire au mieux les histoires.
Il va utiliser l’illustration comme rarement on ne l’avait fait avant. Elle se lit avec le texte, et n’est plus qu’une illustration. Il va chercher des artistes de l’école Russe, en particulier Nathalie Parain.
Soixante et onze ans séparent la 1ère édition de
« Roule Galette » raconté par Natha Caputo , imagé par Pierre Belvès ,de
« Roule Ginette » , aux éditions « la ville brûle ».
Anne Dory et Mirion Malle racontent presque la même histoire…
En 1950, le schéma familiale de Roule galette , fondée sur une société patriarcale,le vieil homme, confortablement installé, dans son fauteuil, avec sa pipe et son journal pendant que sa femme, vieille , elle aussi, s’affaire aux tâches ménagères, est un schéma classique.La femme accepte , avec le sourire,son statut de femme « soumise »…il faut souligné que le vieil homme de « Roule Galette » n’utilise pas l’autoritarisme pour communiquer avec sa femme mais la suggestion…la femme accepte de faire plaisir à son mari, elle ne se pose pas de question, on peut constater qu’elle le fait avec plaisir, elle affiche un sourire appuyé sur toutes les pages.
En revanche, dans « roule Ginette », les personnages sont mis en opposition dés la seconde double page, d’un côté la femme affairée, au dos voûté, le visage triste, de l’autre le vieil homme, confortablement installé, affichant un sourire de satisfaction et où, le caractère autoritaire ne fait aucun doute » il donne des ordres à sa femme ».Ici, les choses sont dites
» La vieille aimerait se reposer mais le vieux se met facilement en colère… »
Cette fois, la vieille trouvera, grâce à un sortilège, la possibilité de fuir la méchanceté du vieux.
En 2021, la vieille femme chante » je suis la galette, avant j’étais prisonnière, maintenant je suis libre… »
Un livre qui va faire parler les enfants, et réfléchir au féminin -masculin, masculin féminin aujourd’hui, et quel rôle, chacun d’entre nous doit jouer pour aspirer au bonheur
« du bien vivre ensemble ».
Six talents, six ouvrages,
une collection :
COURT TOUJOURS
COURT TOUJOURS, qu’est ce que c’est ?
C’est une collection de récits initiatiques intenses et percutants qui racontent un moment charnière de la vie d’un ou d’une ado d’aujourd’hui.
Rosalie pense à Jessica. Cette fille a besoin d’elle. Le destin les a mises sur le même chemin, dans le même tram, justement pour que Rosalie la sauve. Jess a besoin d’elle, elle le sait.
Puisqu’elle l’a sauvée une fois, elle devra la sauver toujours. C’est sa mission.
Rosalie vient en aide à Jessica, agressée dans le tram. Elle la raccompagne chez elle, revient le lendemain demander des nouvelles, s’accroche. Petit à petit, la vie de Jessica vire au cauchemar…
J’ai adoré cette collection, chaque titre est un véritable plaisir de lecture, avec une petite préférence pour le livre de Séverine Vidal, son talent d’auteur n’est plus à prouver, cette fois elle nous entraîne dans une lente descente aux enfers, tout commence bien pourtant…Jessica en est persuadée! elle va vite regretter d’avoir croisé la route de Rosalie….